L’homme que je me vois, de naissance dans les saisons soixante, a été élevé dans un système où l’on ne parle pas de ce qui trouble l'invisible. On science-fiction, on encaisse, on se tait. Pourtant, à cadence d’expérience, de deuils silencieux et de lendemains qui se rapprochent, on finit par convenir que quelques interrogatio